Le candidat du Parti démocratique sénégalais (Pds) ne fait pas partie de la liste définitive des 20 Sénégalais qui vont briguer les suffrages des Sénégalais le 25 février 2024. Il a été recalé par le Conseil constitutionnel qui a donné une suite favorable au recours de Thierno Alassane qui a contesté mardi dernier la déclaration sur l’honneur de Karim Wade sur sa nationalité sénégalaise au moment du dépôt de son dossier le 26 décembre dernier.
Mais Karim Wade ne compte pas rester les bras croiser. « La récente décision du Conseil Constitutionnel est scandaleuse, c’est une atteinte flagrante à la démocratie. Cette décision est fondée sur des prétextes fallacieux. Elle viole mon droit fondamental de participer à l'élection présidentielle du 25 février 2024, alors que j’ai depuis longtemps renoncé à ma nationalité française », a-t-il écrit sur son compte X.
Avant d’ajouter: « Cette nouvelle atteinte à mes droits de l’homme s'inscrit dans la continuité des nombreuses violations dont je suis victime depuis 12 ans : une détention arbitraire de plus de 3 ans à l’issue d’un procès inéquitable devant une cour d’exception, la CREI, et un exil forcé qui dure depuis 7 ans ».
Ainsi, annonce Wade-fils: « Face à ce nouveau complot judiciaire, j’ai décidé de saisir les juridictionsi internationales dont la Cour de justice de la CEDEAO pour défendre mon droit à la candidature à l'élection présidentielle de février 2024 ».
Et il affirme également qu’il aura son mot à dire dans cette élection. « Dans tous les cas, je participerai d’une manière ou d’une autre au scrutin du 25 février. Je demande à nos militants, nos sympathisants, nos alliés et aux millions de sénégalais qui me soutiennent de rester mobilisés pour engager à mes côtés le combat contre l’injustice et pour la restauration de l’Etat de droit ».
Mais Karim Wade ne compte pas rester les bras croiser. « La récente décision du Conseil Constitutionnel est scandaleuse, c’est une atteinte flagrante à la démocratie. Cette décision est fondée sur des prétextes fallacieux. Elle viole mon droit fondamental de participer à l'élection présidentielle du 25 février 2024, alors que j’ai depuis longtemps renoncé à ma nationalité française », a-t-il écrit sur son compte X.
Avant d’ajouter: « Cette nouvelle atteinte à mes droits de l’homme s'inscrit dans la continuité des nombreuses violations dont je suis victime depuis 12 ans : une détention arbitraire de plus de 3 ans à l’issue d’un procès inéquitable devant une cour d’exception, la CREI, et un exil forcé qui dure depuis 7 ans ».
Ainsi, annonce Wade-fils: « Face à ce nouveau complot judiciaire, j’ai décidé de saisir les juridictionsi internationales dont la Cour de justice de la CEDEAO pour défendre mon droit à la candidature à l'élection présidentielle de février 2024 ».
Et il affirme également qu’il aura son mot à dire dans cette élection. « Dans tous les cas, je participerai d’une manière ou d’une autre au scrutin du 25 février. Je demande à nos militants, nos sympathisants, nos alliés et aux millions de sénégalais qui me soutiennent de rester mobilisés pour engager à mes côtés le combat contre l’injustice et pour la restauration de l’Etat de droit ».
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